Aumônerie mobile catholique • Un maillon dans le parcours de soins
La Pastorale de la Santé, vous le savez est un trépied composé de la Pastorale des personnes handicapées (PPH), des aumôneries des hôpitaux et des cliniques (AH) et du Service évangélique des malades (SEM), un service de proximité, au domicile des personnes qui va être renforcé par la création d’une aumônerie mobile.
Les missions des équipes SEM
Les équipes SEM, composées de bénévoles, rejoignent avec fidélité, ceux qui ne peuvent plus se déplacer pour la rencontre, l’écoute, la prière, la communion fraternelle, et éventuellement le partage de l’hostie consacrée et reçue à la messe paroissiale. Elles collaborent avec l’ensemble de la Pastorale Santé et notamment les aumôneries des hôpitaux. Ainsi, lorsque la personne le souhaite, pour qu’elle continue à être visitée à son domicile ou dans son Ehpad, un lien est fait avec les SEM et les paroisses, à la sortie de l’hôpital ou d’un temps de soins de suite ou de rééducation fonctionnelle. […]
Compléter le service des SEM locaux
Le service national de la Pastorale Santé a pensé nécessaire de créer un nouveau service avec, pour ses membres, une adaptation à la disponibilité afin de compléter le service des SEM locaux, et en continuité avec le service des aumôneries d’hôpitaux. Ce service doit, à l’instar de ce dernier, se conformer aux exigences d’un service hospitalier, et en particulier, avec l’application de la « démarche qualité ».
Une aumônerie mobile catholique
Dans notre diocèse, nous y réfléchissons depuis plus de deux ans, il est maintenant effectif avec une équipe de dix bénévoles qui peuvent se déplacer sur une partie de la Creuse, de la Haute-Vienne et sur Limoges. Cette aumônerie se veut être avant tout rencontre, présence écoutante. […]
Comment la contacter ?
Un numéro de téléphone et une adresse mail permettent de joindre directement l’équipe d’aumônerie mobile ou de poser toutes questions à son propos : 07 67 12 71 67 sante.aumoneriemobile@dioceselimoges.fr
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Marie-Claire Taubregeas
Retrouvez l’intégralité de cet article dans le n° 823 du Sillon, en page 7.